Login

Paris assiégée par 1.000 tracteurs Jeudi 3 septembre, « journée noire » sur les principaux accès de la capitale

Le dernier "blocage" de Paris par les agriculteurs avec leurs tracteurs remonte à novembre 2013. Les  tracteurs avaient bloqué les routes franciliennes. Ils avaient obtenu la tenue d'Etats généraux de l'Agriculture en février 2014. (©Terre-net média)

La logistique de la grande manifestation parisienne Fnsea/JA se met en place. Avec plus de 1.000 tracteurs convergeant vers la place de la Nation, Bison Futé peut classer la journée du 3 septembre « noire » sur les routes d’Ile-de-France.

Vous devez vous inscrire pour consulter librement tous les articles.

Le dernier "blocage" de Paris par les agriculteurs avec leurs tracteurs remonte à novembre 2013. Les  tracteurs avaient bloqué les routes franciliennes. Ils avaient obtenu la tenue d'Etats généraux de l'Agriculture en février 2014. (©Terre-net média)
 

Deux jours après la rentrée des classes, Bison Futé peut classer « noire » la journée du 3 septembre 2015. La grande manifestation organisée par la Fnsea et Jeunes agriculteurs, qui demandent des mesures d’envergure pour soutenir les filières agricoles en difficulté, réunira plus de 1.000 tracteurs à Paris.

Les agriculteurs se donnent rendez-vous dès 7 h du matin au niveau de 5 gares de péage autour de l’Ile-de-France pour converger vers Paris en empruntant les autoroutes A1, A4, A6, A11 et N12 puis A10. Tous les tracteurs devraient arriver vers 9 h aux principales portes de Paris : porte d’Auteuil pour l’A13, porte de la Chapelle pour l’A1, porte de Bercy pour l’A4, Porte de Gentilly pour l’A6 et l’A10. Tous emprunteront le périphérique pour converger vers la place de la Nation.

Menaces écartées sur les trains

Outre les principaux accès routiers à la capitale, le trafic des trains d'Ile-de-France avait été également menacé de perturbations. La société de fret ferroviaire Combiwest, créée par des agriculteurs bretons pour transporter leurs produits, menacait de bloquer le trafic des trains en région parisienne en soutien au mouvement, et pour protester contre la Sncf, qu'elle accuse d'entraver son développement. Mais la société a finalement renoncé.

A découvrir également

Voir la version complète
Gérer mon consentement